Article tout frais : cinq femmes au départ des 24 Heures du Mans

Ce papier ayant pour thématique « l’automobile » a été aperçu sur le web, nous avons voulu vous le livrer dès à présent.

Le titre (cinq femmes au départ des 24 Heures du Mans) est sans confusion.

Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.

Il n’y a pas de raison de douter de la fiabilité de ces infos.

C’est le retour du public à jauge pleine aux 24 Heures du Mans après deux éditions très perturbées. Au départ, ils seront 186 pilotes dont cinq femmes. Sarah Bovy, une pilote belge de 33 ans, roule en compétition depuis une quinzaine d’années. Elle porte au poignée un petit volant accroché à un bracelet. Ce n’est pas seulement une coquetterie. Le sport automobile est sa grande passion. 

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« Pour en faire un métier, il faut d’abord que ce soit une passion. C’est un milieu très dur, très exigeant. Les enjeux sont toujours énormes, explique la jeune femme. C’est quelque chose qui doit vous prendre aux tripes sinon on ne peut pas survivre dedans. » 

« Ça m’a pris quand j’avais 15 ans, j’ai essayé un petit kart sur une fête foraine un soir un week-end et j’ai tout de suite su que c’était ce que je voulais faire. Et ça a été toute ma vie depuis. »

Sarah Bovy, pilote belge  

à franceinfo

Sarah Bovy constitue avec deux comparses le seul équipage 100% féminin de la course, celui de l’écurie Iron Dames (Dames de Fer). L’une de ses deux coéquipières, c’est la Suissesse Rahel Frey, qui participe pour la quatrième fois au 24 Heures du Mans. Depuis le début de sa carrière, elle s’efforce de transmettre sa passion aux jeunes filles qui l’interrogent. « C’est important d’avoir un rêve. Les jeunes filles doivent continuer à travailler dur et essayer de nous contacter parce que nous sommes là pour créer des possibilités, aider au karting ou en Formule. Il faut rester motivées ! » , conseille-t-elle.

Avant la course, toutes les femmes du paddock des 24 Heures se sont retrouvées le temps d’un déjeuner. Pilotes, mécaniciennes, ingénieures… Elles étaient près d’une soixantaine. « Ce sont des choses qui bougent petit à petit. On ne peut pas du jour au lendemain propulser des pilotes au plus haut niveau, estime Sarah Bovy. Si jamais elles ne sont pas prêtes, ce n’est pas bon pour elle, pas bon pour l’image des femmes. Ce qu’on veut, c’est aider des pilotes, des ingénieures à se construire, aider à la base de la pyramide pour avoir de plus en plus de présence féminine pour qu’on puisse progressivement monter les échelons, comme le ferait finalement des pilotes masculins ! »   

La Ferrari 488 GTE rose de l'écurie Iron Dames, le 8 juin 2022 au Mans. (ALEXANDRE DIMOU / MAXPPP)

Sarah Bovy, Rahel Frey et la troisième pilote, la Danoise Michelle Gatting ont réalisé le sixième temps des qualifications dans leur catégorie. Leur voiture, la numéro 85, est entièrement peinte en rose. C’est une Ferrari 488 GTE chronométrée à plus de 300 kilomètre heure dans la ligne droite des Hunaudières. 

À leurs côtés ce week-end, il y aura également la jeune Française Lilou Wadoux, 21 ans, coéquipière de l’octuple champion du monde des rallyes, Sébastien Ogier, et l’Allemande Sophia Flörsch qui s’élancera aux côtés de deux coéquipiers masculins avec Algarve Pro Racing.

Cinq femmes engagées dans les 24 Heures du Mans 2022 – Guillaume Battin fait les présentations.

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